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  • Pour vendre leurs dangereuses drogues : Vos (dealers) médecins vous mentent !


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  • Les pillules du cauchemar DR Vernon Coleman

    Les pillules du cauchemar


    DR Vernon Coleman

    Les pillules du cauchemar – comment des millions de personnes sont pris dans le piège des Tranquillisants : Les dernières statistiques confidentielles du département de l’exposition de santé et sécurité sociale dit que dans les 12 derniers mois  environ 30 millions de prescriptions ont été écrit pour des tranquillisants tels que le valium, le Librium et l’Ativan(temesta).

    Il est assez facile d’expliquer pourquoi les médecins ont commencé à prescrire des tranquillisants il y a 20 ou 30 ans. Lorsqu’ils ont semblé êre des réponses parfaites. Les barbiturates n’étaient plus a la mode. Et les médecins commençaient à identifier que les maladies reliées par effort sont communes. Les tranquillisants tel que le valium ont semblé offrir une solution sûre. Mais il est plus difficile d’expliquer au juste pourquoi les médecins continuent à prescrire ces médicaments aujourd’hui. 

    Mais le fait étonnant est que les compagnies pharmaceutiques ont averti depuis un certain temps maintenant les médecins qu’elles ne sont pas appropriées pour l’usage à long terme. Ma propre évaluation – qui n’a pas été contestée par n’importe qui de la profession médicale, du DHSS ou de l’Office à la maison, est qu’il y a environ 2.500.000 utilisateurs de tranquillisants en Grande-Bretagne.

    Et beaucoup l’on dit: il est plus difficile de se sortir des benzodiazépines que de l’héroïne. Joseph Tutt n’est pas le seul patient qui est si fâché qu"il poursuit son docteur.

    Deux autres lecteurs ont déjà consulté des avocats-conseils et ont commencé des actions judiciaires. Et les douzaines de plus ont écrit pour m’indiquer qu’elles projettent d’autres actions judiciaires.

    Si Tutt a réussi, beaucoup de patients à qui ont été prescript des tranquillisants ou des comprimés somnifères et dont les vies ont été dévastées ou endommagées d’une manière quelconque pourrait avoir commencé des démarches dans les mois. Et ce sera leurs médecins qu’ils poursuivront, pas les compagnies pharmaceutiques. Il y a environ dix ou quinze ans les compagnies de drogue favorisaient des produits de ce type avec enthousiasme sans réserve.

    Et des médecins pourraient à peine être blâmés de croire que ces médicaments étaient efficaces et sûres. Mais depuis des années maintenant il n’y a plus aucune excuse.

    Les compagnies pharmaceutiques avertissent constamment des médecins de ne pas permettre à des patients de les prendre pour plus qu’une semaine ou deux. Ils conseillent aux médecins de ne pas rendre ces médicaments disponibles pour des « prescription a répétition ». Il est démontrer et prouver que ces médicaments provoquent des dépendances potentiellements dangereuses qui se sont accumulées rapidement depuis le début des années 70. Les nombreux articles de recherches ont été  éditée assurant que les produits de ce groupe peuvent causer des problèmes tels que la perte de mémoire aussi bien que l’inquiétude, la dépression et l’insomnie.

    Ironiquement, ce sont les trois symptômes pour lesquels elles le plus généralement sont prescrites. Le comité de la sûreté des médecines a reçu des rapports prouvant que ces médicaments sont bien connues pour causer bien plus de 100 effets secondaires différents. Plus tôt ce mois le DHSS et l’Office à la maison ont publiquement admis que la taille du problème de dépendance aux tranquillisant de la Grande-Bretagne les inquiète en apportant ces drogues sous l’abus de la Loi 1971 de drogues – la même législation cette des drogues de commandes telles que l’héroïne. Mais les milliers de médecins ne semblent pas ne prendre aucune notification. Il peut être vrai que beaucoup ne sachent toujours pas quoi encore pour faire pour les patients qui souffrent de l’inquiétude ou des maladies soumettre à une contrainte-connexes. La seule conclusion que je peux tirer est que plusieurs mille médecins britanniques ne lisent pas des articles dans les journaux médicaux ni pas ils étudient la littérature qui est éditée par les compagnies de drogue.

    Ces médecins péniblement ignorants ont entre eux créé le plus grand problème de dépendance aux médicaments que ce pays n’ai jamais vu. C’est leur penchant à prescrire ces médicaments terribles qui nous a donné une nation de drogués. Si M. Tutt – et d’autres comme lui – gagner, la profession médicale pourrait faire face à plusieurs millions de procès très chers et à la plus grande crise dans l’histoire moderne. Les portes d’inondation se seront ouvertes. DR Coleman est l’auteur de plus de 30 livres comprenant des fanatiques et des penchants. L’édition de livre broché à lui le dernier livre. La vie sans Tranquillisant, a été éditée il y a deux mois. Depuis lors il a reçu plus de 6.000 lettres des utilisateurs qui, il dit, sont assez fâchés pour poursuivre les médecins qui les mettent sur la route au penchant. – Aujourd’hui, 7 mai 1986

    Benzodiazépine Tranquillisers
    Citations des drogues Myth, 1992
    DR Vernon Coleman, mb, ChB, DSc (Hon)

    Dans les années 60 et les années 70 quand les dangers se sont associés à des barbiturates était devenu largement connu, un groupe de drogues nouvellement découvert – les benzodiazépines – ont été présentés en tant que solutions de rechange sûres, efficaces et non provoquant une dépendance pour les patients qui ont eu besoin d’aide pour détendre ou obtenir le sommeil. Dans un espace très court des milliers de temps de médecins prescrivaient de vastes quantités des benzodiazépines pour des millions de patients et par la fin des années 1980 pratiquement chaque pays développé dans le monde a eu un problème important de dépendance aux benzodiazépines. Pour la troisième fois en moins d’un siècle des médecins et l’industrie pharmaceutique avait avec succès créé et favorisé une dépendance aux médicaments.

    Des drogues telles que l’héroïne et la cocaïne sont habituellement mises dans le premier groupe tandis que les drogues telles que les benzodiazépines se trouvent inévitablement dans le deuxième groupe. Cette sorte de classification n’a aucune base dans la science, parce que les tranquillisants de benzodiazépine sont beaucoup plus dangereuses et provoquent beaucoup plus de dépendance que les prétendues drogues « dures ».

    Et, naturellement, si un individu devient un fanatique par ses propres choix pauvres, par la chance malade ou par les erreurs d’un médecin, il sera encore considéré comme un fanatique. Le stigmate est identique. Des millions de personnes qui sont devenus dépendantes sans absolument aucune faute de leurs propres initiative sont mal traités par les médecins, par la société et par les employeurs. Pendant les deux dernières décennies j’ai reçu des dizaines de milliers de lettres des personnes dont les vies ont été ruinées (dans chaque sens possible du mot) en raison d’une dépendance aux benzodiazépines. La plupart signal que l’agonie de leur dépendances a été composée par les sentiments de la honte et de la culpabilité qu’elles ont été encouragées à soutenir (par les médecins), et par le sens de l’outrage elles se sentent à la manière elles ont été traitées.

    Une des manières classiques d’acquérir un marché de médicaments est de donner des échantillions de boites de médicaments gratuites aux non-utilisateurs afin qu’ils essayent ceux ci, ensuite ils doivent payer leurs médicaments. Cette technique est régulièrement employée par les professionnels des médicaments. Par ailleurs, peu de temps après les benzodiazépines ont été présentés pour la première fois dans des approvisionnements gratuit aux hôpitaux de Grande-Bretagne ont été donnés librement aux hôpitaux afin de calmer des inquiétudes de gouvernement au sujet du coût. Ce programme de commercialisation de masse doit sûrement avoir aidé à mener au problème massif de penchant qui existe maintenant.

    Les benzodiazépines sont probablement les médicaments les plus provoquant une dépendance jamais créées et la vaste armée des médecins enthousiastes qui ont prescrit ces médicaments par tonne ont créé le plus grand problème de dépendance aux drogues du monde. J’avais bien averti de la taille de ce problème parce que j’avais fait campagne pour persuader des politiciens et des médecins de commander les benzodiazépines plus efficacement pendant la majeure partie de ma vie professionnelle ; pendant ce temps j’ai entendu et ai parlé aux dizaines de milliers de fanatiques dont les vies ont été ruinées par ces drogues.

    Quand les patients sont sevrés des benzodiazépines avec succès, bon nombre d’entre eux disent qu’ils se sentent mieux qu’ils ne se sont sentis pendant des années, sans tout autre traitement. Le danger des benzodiazépines est insidieux. Ces médicaments ont des symptômes de sevrage très semblables à ceux des barbiturates et à l’alcool mais ces effets de sevrage peuvent prendre beaucoup plus longtemps.

    On l’a connu longtemps avant ceci que les benzodiazépines ont posé des problèmes. La première publication d’article scientifique émettant l’avis qu’ils pourraient être provoquer une dépendance ont été édités en 1961 – juste une année après que le chlordiazepoxide (le premier des benzodiazépines) ait été lancé en Amérique. Le premier rapport clinique j’ai pu constater que détaillé les qualités provoquant une dépendance des benzodiazépines a été publié à un journal appelé Psychopharmacologia. Il a été écrit par trois médecins de l’hôpital du ministère des anciens combattants à Palo Alto, la Californie. L’article a signalé des réactions de sevrage du Chlordiazepoxide et il a décrit dans les détails dramatiques comment les patients qui avaient pris le médicament ont souffert des symptômes de retrait quand les médicaments a été arrêtée.

    Les auteurs de l’article ont édité dans Psychopharmacologia décrit comment onze patients qui avaient pris les doses assez élevées du chlordiazepoxide pendant jusqu’à six mois ont été soudainement enlevés leurs pillules et comprimés donnés de sucre à la place. Dizaines des onze patients ont éprouvé de nouveaux symptômes après retrait. Six patients sont devenus enfoncés, cinq ne pouvaient pas dormir et étaient agités. Deux des patients ont eu des convulsions ou des ajustements principaux. La plupart des symptômes se sont développées de deux à neuf jours après que les médicaments aient été arrêtés. Par le début des années 70. A. le nombre d’autres article avait été l’apparence éditée que les benzodiazépines pourraient causerune dépandance. En 1975 le journal international des penchants a porté un article important intitulé abus de diazepam : Un problème médical de plus en plus commun.

    Au cours des années suivantes j’ai écrit des articles dans des douzaines de journaux et de magazine au sujet de la dépendance aux benzodiazépines et j’ai contribué à faire une masse d’émissions télévisées et de radio. En conséquence j’ai reçu des dizaines de milliers de lettres d’utilisateurs de tranquillisants (en même temps je recevais plus de mille lettres par semaine de personnes qui étaient dépendant aux tranquillisants et qui voulait de l’aide). Par le début des années 80 j’ai estimé qu’il y avait entre 2,5 et trois millions de fanatiques de benzodiazépine en Grande-Bretagne – et les millions de plus autour du monde. En plus des lettres des patients j’ai également reçu un vaste nombre de lettres des médecins, parce que bien que les dizaines de milliers de médecins distribuent toujours des benzodiazépines librement un nombre de plus en plus important se rendaient compte du problème. Beaucoup de conseillers et médecins généralistes m’ont écrit pour me dire qu’ils ont pensé que les benzodiazépines étaient des médicaments d’usages courants les plus provoquant une dépendance et les innombrables experts en matière de drogue m’ont dit que certains de leurs patients avaient eu beaucoup plus de mal sortir des benzodiazépines qu’a sortir de toutes les drogues illégales.

    Par la suite, en janvier 1988 le comité de la sûreté des médecines a finalement publié un « avertissement sur la dépendance aux benzodiazépines et des symptômes de sevrage ». Les médecins ont été averti que les benzodiazépines ne devraient pas être employées pendant plus de quatre semaines, et ont averti que l’utilisation chronique à long terme n’a pas été recommandée. 

    Mais il était trop tard pour des millions de patients. Le gouvernement, l’industrie pharmaceutique et la profession médicale auraient du agir quinze ans plus tôt – quand l’évidence a été rendue disponible la première fois . La profession médicale avait créé le plus grand problème de dépendance aux médicaments qui allait provenir du vingtième siècle. Tristement, égaliser aujourd’hui, trois ans ensuite que l’annonce officielle, je recevais toujours des lettres journalières de patients britanniques  a qui l’ont a prescript des tranquillisants de benzodiazépine et les traductions de mes articles et livres concernant des benzodiazépines ont prouvé que le problème de benzodiazépine est seulement juste émergent dans beaucoup d’autres pays.

    Le plus alarmant de tous, peut-être, est le fait que la profession médicale, les politiciens et les compagnies de drogue semblent n’avoir appris peu ou rien de l’histoire tragique de benzodiazépine.

    Je crois fermement que n’importe quel médicament prescrit pour l’inquiétude s’avérera par la suite provoquant une dépendance, mais il me semble que ni des médecins ni les compagnies de drogue ne sont disposés à abandonner la recherche d’une solution pharmacologique profitable à l’inquiétude. Le résultat est, je craignent, qu’à l’avenir les problèmes liés aux benzodiazépines soient répétés à maintes reprises. Les benzodiazépines ont causé infiniment plus de douleur et de désespoir que toutes les drogues illégales ,mais les gouvernements et les législateurs ont été tellement plus concentré sur les drogues illégales telles que l’héroïne, cocaïne et cannabis qu’ils ont unanimement pas agis ni prorèger les patients jusqu’à ce que d’énormes quantités de dommages inutiles aient été faites. Les avertissements efficaces sur les barbiturates sont venues une décennie trop tard et l’avertissement significatif au sujet des benzodiazépines également est bien venu une décennie trop tard. Les politiciens et les législateurs ont vraisemblablement supposé que parce qu’un médicament est disponible pour la prescription celui-ci doit être sûr. S’ils avaient mis un pour cent de l’effort qui est entré dans une tentative de stopper la contrebande de drogue illégale dans des textes reglementant la promotion et la prescription des benzodiazépines le public aurait bénéficié au delà de toute la mesure.

    des drogues Myth (1992) par DR Vernon Coleman


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  • COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER **** (anglais uniquement) de docteur Vernon Coleman « La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n'est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur."

    l'inquiétante corruption de ces milieux, cause de scandales et de mensonges institutionnalisés : médicaments dangereux (voire mortels), résultats falsifiés, sang contaminé, pollutions diverses, mensonges sur le cancer, le sida, la grippe aviaire, les hormones
     
    Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir. »

    Big Pharma, une industrie toute-puissante qui joue avec notre santé
    "Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels."...
    On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel.
    Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus.
    Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.

     

    Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.

    Le livre noir des hopitaux
    la visite tient du musée des horreurs.

    L'IMPÉRATRICE NUE ou La Grande Fraude Médicale

    "la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies"

    pharmageddon (anglais) : l'hisoire d'une tragedien par le prof david Healy
    les antidépresseurs - maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse - alors même que les preuves s'accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre.
    L'espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d'espérance de vie que nous l'étions il ya 100 ans.

    Médicaments Meurtriers et Crime Organisé : comment Big Pharma a corrompu la Santé
    Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia.
    Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée.
    Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie.
    Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ....Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia...

    mensonges et vérités de diana Kircsh
    extrait : "voila un exemple flagrant d'une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l'augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d'enfants mouraient à la naissance et...Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l'équation, l'espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans !"

    Effets secondaires - LA MORT, Sans corruption pas de médicaments (prozac)
    le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent
    « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

    Le livre noir du médicament
    Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? [...] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire.
    L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d'antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »

    CONFESSIONS D’UN MEDECIN REVOLTE
    Extrait : « Les médecins sont soumis à une sorte de lavage de cerveau durant leurs études et ils croient presque tous ces mensonges enseignés volontairement. Ils prétendent donc qu’il existe des cellules humaines malignes, dégénérées, appelées cellules cancéreuses. D’après les « experts du cancer » ces cellules malignes doivent impérativement être tuées au moyen de thérapies destructrices. Qu’elles fassent partie d’un ensemble plus grand de cellules, nommé être humain, n’entre évidemment pas en ligne de compte. De même il n’est discuté dans aucune faculté occidentale si les cellules cancéreuses sont réversibles et si elles peuvent de nouveau se différencier en cellules tout-à-fait normales. Un cancérologue connaît l’anatomie et pourra vous dire pourquoi vous avez tel ou tel organe. Mais que sait-il au fond du cancer ? Dans les facultés et les cliniques, il apprend seulement qu’il faut procéder à l’ablation de la tumeur ou la détruire par chimiothérapie ou rayonnement. Et si la théorie de la destruction indispensable de la tumeur était FONDAMENTALEMENT fausse ? Ne vous êtes vous jamais demandé pourquoi 230.000 personnes environ meurent chaque année du cancer en Allemagne MALGRE, dans la plupart des cas, une destruction préalable de leur tumeur ? Avez-vous seulement osé vous demander si tant de personnes ne seraient pas mortes PARCE QUE leur tumeur a été tuée ? Je dis bien tuée !

    C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
     
    je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé
    Le cartel pétrochimie-pharmaceutique facilité par la corruption, l'avarice, la fraude, et l'incompétence du gouvernement, met en danger le futur de l'humanité et d'autres espèces sur cette planète

    de Christophe Fernandez

    Il relance le débat sur les pratiques mafieuses de la médecine conventionnelle.

    "Il y a plus de 2 millions d'hospitalisations et 180.000 décès chaque année aux États-Unis uniquement due à des réactions indésirables aux médicaments"
     
    la médecine est le premier vrai danger pour la santé.
     
    on apprend que tout médicament comporte des risques, qu'une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou dangereuses
     
    Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu'elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles "la préhypertension", "le désordre d'anxiété généralisée", "le syndrome prémenstruel dysphorique"...
     
    La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parviennent à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financiers.

    "Si on pouvait autrefois espérer trouver un jour un traitement pour chaque maladie, nous explique Jörg Blech, les marchands de la santé, aujourd'hui plus que jamais, semblent plutôt vouloir trouver une maladie pour chaque molécule fabriquée. En manipulant
     
    Depuis les affaires des statines, du Viox, de l'Acomplia et du Zyprexa, qui ont occasionné le retrait de plusieurs médicaments,
     
    A voir sur le site : Des videos et livres pour ne pas mourir idiots. (4 pages développent et illustrent le roman. ) CES PAGES SONT A VOIR !

    Le résultat est la mise sur le marché d'un nombre sans précédent de médicament meurtrier sur le marché américain! (et mondial)
     
    " Par exemple, il note que d'un rapport de l'US Food and Drug Administration, a conclu que l'entreprise qui fabrique le somnifère Halcion "vigoureusement cherché à réprimer la publication d'études défavorables et a tenté de réduire au silence les crtiques.
     
    Overdosed Amérique révèle la cupidité et la corruption qui poussent les coûts des soins de santé vers le ciel et menace désormais la santé publique

    En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple :les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables;la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur;la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing;de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête;la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars;la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules;comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies;la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée;et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives

    Les médecins et infirmières tuent plus de personnes que le Cancer ? 
    Les preuves montrent qu'avec le cancer et les maladies circulatoires, les médecins et infirmières sont maintenant l'un de nos trois meilleurs tueurs ; ils tuent beaucoup plus de gens que les infections (y compris la grippe), les accidents de la route, les terroristes et criminels mis ensemble. Chaque médecin tue chaque semaine plus de gens que les terroristes ont tué dans les 50 dernières années. Le résultat est que les médecins et infirmières maintenant presque certainement tuent plus de personnes que le cancer.

    La médecine est elle devenue folle ?

    Bad pharma
    Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace.
    Des études cliniques biaisées
    Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo.
    Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.
    Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.

    Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
     
    on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou
     
    Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la pérennité de leur dictature.
     
    Les scandales successifs du Distilbène, du Vioxx ou du Mediator, retirés très tardivemnet du marché, ne sont pas arrivés par hasard. La « chaîne du médicament » – de la recherche pré-clinique aux essais thérapeutiques en passant par l’autorisation de mise sur le marché (AMM), la fixation des prix, le taux de remboursement et la surveillance post-AMM -souffre d’innombrables dysfonctionnements.Désormais les firmes pharmaceutiques contrôlent presque tout, et la pression populaire, instrumentalisée par la propagande publicitaire, a conduit à une accélération du processus de commercialisation. Le médicament est devenu une marchandise qui obéit essentiellement à l’économie de marché.Nicole Delépine dresse ici un tableau sans complaisance de la dérive du système de santé français, orienté par les lobbies pharmaceutiques. Elle tente de sensibiliser les patients aux dangers des médicaments et d’alarmer médias et politiques sur leur passivité.
     
    Est-il vrai que se faire tester pour trouver un cancer à ses débuts est une des meilleures façons de se garder en santé ? Dans ce livre vivant et bien documenté, un expert renommé en dépistage du cancer conteste une des croyances les plus robustes de la médecine : la meilleure défense contre le cancer est de le traiter tôt. La lecture de ce livre incitera à un peu plus de scepticisme à propos des dépistages les plus communs comme la scanographie du corps, la mammographie et le test de l’antigène prostatique spécifique. Combinant l’expérience de patients et les informations les plus récentes sur les cancers les plus courants, le Dr H. Gilbert Welch montre pourquoi le dépistage du cancer de gens en bonne santé est une épée à deux tranchants : bien que ces tests puissent aider, leur effet est remarquablement minuscule et ils peuvent même faire du tort. S’appuyant sur un domaine peu sinon mal connu de la recherche médicale, il discute des pièges du dépistage : il peut rater des cancers, conduire à des traitements inutiles; le dépistage peut aussi distraire l’attention des médecins d’autres problèmes importants. Les conclusions du DrWelch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer.
     
    La Face Cachée de la Chimiothérapie – Lorsque le remède est pire que le mal
    Extrait du livre «Prenez en main votre santé – Tome 2» – Michel Dogna – Guy Trédaniel Editeur
    La chimiothérapie nous vient de la recherche sur les armes chimiques de la Seconde Guerre mondiale, et a fait son apparition dans les années cinquante.
    Il fut découvert ensuite que le gaz moutarde et autres produits chimiques dangereux du même genre freinaient la croissance des tumeurs. Cette découverte arrivait à point à un moment où la recherche piétinait dans ce domaine (ça n’a pas changé depuis). Le problème, évidemment, est que ces produits tuent autant de cellules saines que de cellules cancéreuses et, en particulier, les cellules à reproduction rapide, c’est-à-dire le sang. C’est ainsi que ce traitement est capable de mettre dans un état pitoyable n’importe quelle personne en pleine santé.
     
    Lorsqu’on demande à des médecins s’ils se soumettraient eux-mêmes aux traitements et opérations qu’ils prescrivent, ils se montrent le plus souvent fort réticents. Nous devrions en faire autant, nous dit Jôrg Blech.En s’appuyant sur des études récentes, l’auteur remet en cause la nécessité réelle d’un grand nombre de prescriptions et d’interventions et prouve l’insuffisance de la recherche en ce qui concerne leurs effets à long terme. La relation entre médecins et patients, fondée sur des présomptions, s’en trouve truquée. Aujourd’hui, le corps médical lui-même commence à dénoncer un système de santé pernicieux.Maux de dos, problèmes gynécologiques ou cardiaques, cancer, arthrose, alzheimer… – autant de maladies dont les traitements habituels sont ici soumis à interrogations.
     
    •Le taux de cholestérol ne peut être réduit durablement ni par l’alimentation, ni par les médicaments. Il revient sans cesse à sa valeur initiale. •Le cholestérol n’est pas responsable de l’artériosclérose. •Les dépôts sur la paroi des artères sont

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