• http://www.rtl.be/videos/video/141435.aspx


    Un Wallonne sur 6 est sous tranquillisants!


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  • Tout d'abord, quelques faits :

    Jusqu'à l'avènement des médicaments psychiatriques de Big Pharma, la plupart des gens qui souffraient d'un épisode psychotique (schizophrénie) guérissaient.

    Jusqu'à l’arrivée du Lithium, le trouble maniacodépressif était si rare qu’à peine une personne sur cinq à dix mille en était atteinte, et presque toutes se rétablissaient. De nos jours, un Zunien sur 20 à 50 est diagnostiqué de cela et drogué pour. C’est désormais considéré comme une affection permanente.

    En 2007, le nombre d'enfants handicapés mentaux était 35 fois plus élevé que le nombre de 1990.

    Jusqu’à ce que les gens soient drogués pour la schizophrénie, leur espérance de vie était identique à celle des autres. De nos jours, toute personne diagnostiquée peut s’attendre à voir son espérance de vie réduite de 25 ans. Cela signifie qu’un homme qui aurait pu espérer avoir une durée de vie typique, aujourd'hui de 78 ans en Zunie, est susceptible de vivre seulement 53 ans s'il est traité avec des antipsychotiques.

    Ce sont des faits abasourdissants, mais ils sont tous fidèlement et minutieusement confirmés dans le brillant ouvrage de Robert Whitaker, Anatomy of an Epidemic [Anatomie d'une épidémie] (1), ainsi que dans plusieurs livres du docteur Peter Breggin. Ce problème me touche directement. Il m’a été difficile d'écrire sur ce sujet, car la personne atteinte n'est pas moi, mais quelqu'un bien-aimé, qui a été changé par Big Pharma, la psychiatrie et la médecine moderne.

     

    Mais ce qui arrive aux gens doit être dit, surtout maintenant, pour nos enfants. Bien trop de vies sont totalement brisées par des traitements médicaux qui, à mon avis, peuvent être seulement qualifiés de malveillants.

    Vérité sur les drogues psychiatriques

     

    La psychiatrie s’est ingéniée à se faire passer pour une vraie médecine, à l'instar des autres professions médicales, comme la gastro-entérologie et la neurologie. Pour parvenir à cet objectif, la décision fut prise de soutenir que la maladie mentale a des causes physiques et est soignable avec des médicaments. L'American Psychiatric Association (APA), le National Institute for Mental Health (NIMH), et la National Alliance for the Mentally Ill (NAMI), s’associèrent avec Big Pharma pour convaincre le monde que le haut est en bas et que le noir est blanc.

    En dépit du manque absolu de preuve, ils affirmèrent que les gens souffrent de problèmes mentaux parce qu'ils ont le cerveau malade – leur cerveau détraqué souffre de déséquilibres chimiques. Des années et des années de recherches, certaines brillantes, tentèrent de prouver que le cerveau des malades est à l'origine des troubles mentaux. Ils ne purent jamais le faire, mais ça ne fit aucune différence. Les études prouvant le contraire furent manipulées pour donner l'impression qu'elles montraient des différences physiques ou chimiques dans le cerveau des gens atteints de maladies mentales.

     

    Ce n'était rien d'autre qu'un mensonge. Il n'y avait pas une once de vérité. Pas le moindre indice ne montrait que les gens avaient une anomalie cérébrale lors des premiers diagnostics de maladie mentale. Il importait peu que le diagnostic soit dépression, psychose maniacodépressive, schizophrénie, ou la foule de nouveaux diagnostics dont il fut fait étalage comme excuses pour prescrire des psychotropes.

    Seulement, à présent, il y a du vrai en cela. C’est la véritable tragédie du crime de la psychiatrie : Aujourd'hui, dès que les gens commencent à prendre des psychotropes, le mensonge initial devient vérité. Les drogues endommagent le cerveau, et tout indique que c'est permanent. Ces dommages cérébraux donnent d’authentiques troubles du cerveau, qui engendrent ces mêmes symptômes pour lesquels les drogues sont prescrites.

    La psychiatrie est à l'origine de l’immense majorité des maladies mentales.

    L'ampleur de cet holocauste iatrogène, médicalement induit, était quasi-inconcevable avant que Big Pharma et la psychiatrie ne décident de s'en prendre aux enfants. Aujourd’hui, nous ne savons pas encore exactement le degré de calamité cela atteindra. Si l'on considère les énormes dommages fait au cerveau adulte, que doit-il arriver au cerveau des enfants ? De combien sera réduite leur vie, après que sa qualité ait été quasiment détruite ?

    Maniaco-dépression : Antidépresseurs et antipsychotiques

    La psychose maniacodépressive est un excellent exemple des changements dans le cours naturel perçu de la maladie mentale. Il y a exactement 50 ans, avec à peine un cas sur cinq à vingt mille personnes, la psychose maniacodépressive était extrêmement rare. La plupart des victimes, vraisemblablement pas moins de 80%, connaissaient un seul incident et retournaient à la vie normale. Or, aujourd’hui, pas moins d’un individu sur 20 à 50 est diagnostiqué maniacodépressif, et, comme Whitaker le démontre clairement dans Anatomy of an Epidemic, la seule explication possible implique l’action des drogues données pour la dépression et la psychose. Le pronostic désormais avancé pour la psychose maniacodépressive, c’est qu'elle est permanente. Les psychiatres ne donnent généralement pas l’espoir d'y échapper !

    Considérez que les enfants sont maintenant livrés à cette magouille de drogue mentale. De combien sera réduite leur vie, et dans quel état la passeront-ils ? Merci aux semblables du Dr Joseph Biederman, qui, selon Whitaker, « ont spécifié le cadre du diagnostic qui a rendu possible [le diagnostic des enfants atteints de psychose maniacodépressive]. » Nous avons un très grand nombre d'enfants diagnostiqués à tort, puis droguée avec les psychotropes les plus puissants et nocifs imaginables – et pire, avec des cocktails de ces drogues.

    Ces enfants deviennent inévitablement de plus en plus malades. Parfois à peine à l’âge de deux ans, à cause d'un diagnostic bidon, leur vie est brisée. Ils deviennent juste du fourrage pour l’industrie mercantile du gros business pharmaceutique et médical.

    La psychiatrie couvre bien sûr d’une manière retorse ce qu'elle fait à ces enfants. Ils changent simplement la description de l'évolution naturelle de la « maladie » qu'ils ont définie. Au lieu de reconnaître que la plupart des gens se rétablissent, ils disent à présent qu'il n'y a aucun espoir de guérison. Ils disent maintenant naturel ce qu'ils ont créé.

    Voilà le vrai terrorisme. Le système médical moderne a décidé que les gens qu'il est censé servir sont sans valeur, que leur but est de servir de pâture à l'insatiable machine à produire des bénéfices qu'il est devenu.

    Référence

    (1) Anatomy of an Epidemic, de Robert Whitaker, publication de Broadway Paperbacks, Crown Publishing Group, 2010, pp 172-204.

    « Après des années de recherche le professeur Peter Gøtzsche résume cela de la manière suivante : « Les psychotropes n’éliminent aucun déséquilibre chimique, ils les provoquent. Si on les prend plus longtemps que quelques semaines, ils causent la pathologie qu’ils devraient guérir. Avec les médicaments que nous avons employés, nous avons transformé des troubles psychiques qui auparavant n‘étaient le plus souvent que des altérations temporaires, en troubles chroniques. » «


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  • La honte des 32 secondes !
    c’est le temps moyen qui a été calculé entre la plainte du patient et la rédaction d’une ordonnance contenant un hypnotique. L’automédication suivra…

    Trop, voire dangereusement banalisée ( l’hyper consommation entraînant une insomnie rebelle).

    Il apparaît une atteinte de la mémoire immédiate (de fixation) dans la prise prolongée et il existe peut-être un rapport entre hypnotique au long court et la recrudescence de la maladie d’Alzheimer.

    Le malade sera informé des symptômes de sevrage auxquels il sera confronté,de manière à ne pas être victime de sa bonne volonté, deux jours après vous avoir rencontré, et de repartir dans une logique de surconsommation ou d’auto prescription effrénée.

    site source


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  •  benzos : Ils deviennent catastrophiques quand on les prend d’une manière régulière.

    Avec l’apparition des benzodiazépines, on est passé à des produits actifs mais moins toxiques. Il est difficile d’arriver à se suicider avec des benzodiazépines. On a donc obtenu un certain confort avec ces médicaments. Ensuite, on a évolué avec des molécules plus modernes et qui fonctionnent encore mieux.
    Néanmoins, si tous ces produits sont excellents quand ils sont pris d’une manière discontinue ou occasionnelle, ils deviennent catastrophiques quand on les prend d’une manière régulière. Actuellement, pour l’insomnie chronique, on conseille une prise discontinue de ces produits, c’est-à-dire une fois, deux fois, trois fois maximum dans la semaine ou bien par périodes. Dans tous les cas, il faut vraiment éviter une prise régulière parce que cela entraîne une accoutumance et même une dépendance : il devient difficile d’arrêter le médicament. On doit augmenter les doses pour obtenir le même effet positif sur le sommeil. Surviennent alors des effets secondaires importants sur le lendemain.

    docteur sylvie Royant-Parola


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  • "Par exemple, en cas d’insomnie chronique, il est démontré que les hypnotiques au long court sont non seulement inefficaces, mais délètères
    : en effet, si l’on enregistre le sommeil d’un insomniaque, on trouve un sommeil de mauvaise qualité, raccourci et émaillé de nombreux reveils. Lorsqu’on lui prescrit un hypnotique, le sommeil s’allonge et les éveils disparaissent pendant deux ou trois semaines. le patient se dit satisfait. Si l’on poursuit la prescription au-delà d’un mois, le patient continue à dire qu’il dort et pourtant, les enregistrements montrent un retour à la case départ : le sommeil est raccourci et les réveils nombreux"

     

    Patrick Lemoine


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